Le ciel est profond, les cieux sont noirs, la lumière des étoiles si austère Quand je lève les yeux, la rage me gagne, si c’est là tout ce qui nous est alloué
Ce monde solitaire, ce lieu troublé Ces étoiles froides et mortes, ce vide immense Cet ordre hostile, ces pensées inutiles Ces êtres soumis et limpides, ce futur stérile
Alors je ne vois aucune raison de persévérer Aucune raison de rire ni de verser des larmes Aucune raison de dormir ni de me réveiller Aucune promesse à tenir ni a à faire
Et je lève les yeux encore et toujours Pour scruter les cieux mystérieux Qui nous dominent tels des arches Aussi froids que la pierre des sanctuaires oubliés
La terre est aveugle, les terres sont arides, l’horizon des confins si sévère Quand j’ouvre les yeux, l’angoisse triomphe, si c’est là ce qui m’est imposé
Ce monde solitaire, ce lieu troublé Ces étoiles froides et mortes, ce vide immense Cet ordre hostile, ces pensées inutiles Ces êtres soumis et limpides, ce futur stérile
Alors je ne vois aucune raison de persévérer Aucune raison de rire ni de verser des larmes Aucune raison de dormir ni de me réveiller Aucune promesse à tenir ni a à faire Teksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa. |
|