Les flammes attisent mon supreme desir Mon sang ruiselle sur mon corps La misanthropie chante son air ensorceleur Mes pensées s'entre-choquent Elle subtile mortelle m'enivre, me domine Puissante souveraine de ses tenebres Tiens entre ses mains la lame qui me delivrera. . .
Dans l'enclave où ces vastes tenebres reignent Mon coeur maudit hurle dans un silence pesant Le sang que macule cette terre sombre et abandonnée Nourrie des arbres dont des flammes s'echappent Je sens la brulure elle consume mon ame qui vomit des flots de sang. . .
La lune est ma seule lumiere Sous le voile de la nuit j'entends son appel Telles des broches que l'on planterai dans mon corps Et qui transpercerai mon coeur Elle fait echouer mon ame. . . Dans le noir de la nuit Dans ce sanctuaire calme et apaisant Mes cris resonnent dans une atmosphere lourde Je sens en moi le mal qui se consume Cette chose qui ne m'appartient pas Mais qui fait partie de moi. . .
Je vois sur ses sentiers Les vestiges des batailles passées J'y ressent les souffrances delaissées Mon sang se glace lorsqu'elle murmure à mon oreille Ces griffes martellent ma nuque
J'attend qu'elle me soulage Qu'elle me recouvre de son voile Et qu'elle rentre par les pores de ma peau Cette ombre qui me plonge dans le vide Chaque bouffée d'air est une torture. . .
Ce n'est seulement que dans l'obscurité parfaite que l'on peut apercevoir la magnificence de la lumiereTeksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa.