L’homme traîne ses peines, Conduit son ciel au désespoir Mange des étincelles Et broie du noir Et la misère, elle, ne vient pas De notre terre Elle est la mère qu’on assassine
Fragiles éventails nous sommes Exposés aux vents glacés qui résonnent Brisés, nos cœurs pèsent une tonne Jamais heureux, jamais… Assez…
Quand dans nos audaces Se glissera un peu d’amour Nous verrons la trace De meilleurs jours Quand dans nos prières Il y aura le vœu sincère De ne plus enfanter de guerre
D’immenses flammes s’élèveront Miroir de nos âmes gardiennes du son Nos dernières larmes couleront Heureux à jamais, heureux…
D’immenses flammes s’élèveront Miroir de nos âmes gardiennes du son Nos dernières larmes couleront Heureux à jamais, heureux…Teksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa.
