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Comme je marchais pour prendre l'air
Par un matin de mai
A la lisičre d'un petit bois,
Soudain je me suis arręté
Car j'avais vu une belle jeune fille
Assise sur une chaise
Je lui dis, je m'appelle Claude,
Elle me dit, je suis Irlandaise

Bali wali bou ouac dou ya ouac
Je suis Irlandaise

Je lui dis vous ętes la plus belle
Des filles que j'ai rencontré
Et c'est ainsi qu'a commencé
Cette histoire insensée
Elle me dit venez donc chez moi,
J'habite juste ŕ côté
Je vais vous raconter l'histoire de l'Irlande
Et elle s'est mise ŕ chanter

Bali wali bou ouac dou ya ouac
Bali wali bou ouac
Je suis Irlandaise

Elle m'installa prčs d'un grand feu
Et aussitôt elle me chanta
Les vieilles chansons, que lui chantait
Sa grand-mčre autrefois
Pour l'arręter moi je lui dis
Quelle belle cause est la vôtre
Mais quand une chanson était finie
Elle en commençais une autre, et une autre, et une autre

Bali wali bou ouac dou ya ouac
Bali wali bou ouac bali wali wou ouac
Je suis Irlandaise

Elle me chanta sa chčre Irlande
Pendant toute la nuit
Comme les heures passaient
Moi je la trouvait de plus en plus jolie
Ni tenant plus, je m'appochais d'elle
Pour pouvoir t'embrasser,
Mais elle disparue dans une pluie d'étoiles
Et voilŕ tout ce que je sais

L'Irlande ŕ des lutins étranges
Et des lacs trčs profonds
L'Irlandes ŕ des montagnes basses
Et un sacré nombre de chansons

Bali wali bou ouac bali wali bou ouac
Bali wali bou ouac bali wali bou ouac
Bali wali bou ouac bali wali bou ouac
Bali wali bou ouac bali wali bou ouac
Bali wali bou ouac bali wali bou ouac
Bali wali bou ouac bali wali bou ouac...

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