Ecrasé comme un mythe À qui l’on n’aurait pas donné d’allant Si vous me pensez toute petite, C’est que vous n’êtes pas bien galant,
Ah, Ah ! Laissez-moi ! Ah, Ah ! Perturber les cimes ! Et me rendre à mon émoi
À trop jouer au minotaure, Vous vous êtes perdu dans mon dédale, Et si je vous aime jusqu’à la mort, Faudrait voir à pas y mettre que dalle !
Ah, Ah ! Laissez-moi ! Ah, Ah ! Perturber les cimes ! Et me rendre à mon émoi
Vous fûtes un jour plus sujet, À vous sentir l’âme de Jason Sachez monsieur qu’il est plus gai, De conquérir sa raison
Ah, Ah ! Laissez-moi ! Ah, Ah ! Perturber les cimes ! Et me rendre à mon émoi
J’ai des mythologies plein la tête, De la suite dans les idées, Le rôle de l’héroïne parfaite, J’en ai vraiment rien à carrer !
Ah, Ah ! Laissez-moi ! Ah, Ah ! Perturber les cimes ! Et me rendre à mon émoi
Pour m’aimer c’est sûr, Il vous manqua bien du talent, Des sentiments un peu plus mûrs, Mais vous faites pas dans le sentiment,
Ah, Ah ! Laissez-moi ! Ah, Ah ! Perturber les cimes ! Et me rendre à mon émoi
Dans le meilleur des mondes, J’aurais bien bu à votre santé, Mais ma nature me plombe, Et maintenant j’bois pour oublier.
Ah, Ah ! Laissez-moi ! Ah, Ah ! Perturber les cimes ! Et me rendre à mon émoi
J’étais fraîche, voilà deux heures, Comme qui dirait la bouche en fleur, Vous m’avez fanée sans bravoure Ne parlez-vous jamais d’amour.
Ah, Ah ! Laissez-moi ! Ah, Ah ! Perturber les cimes ! Et me rendre à mon émoiTeksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa.