Le jour qui vient de naître Dessine la fenêtre Au mur de la vieille chambre Et peint septembre aux couleurs d'ambre
Une larme qui perle Et vient de rouler sur sa joue Petite vague qui déferle Dans son sommeil Alors que tout semblait si doux D'où vient ce chagrin qui s'éveille Pour se glisser dans son cou?
Dans l'eau de ses silences Je bois son cœur immense Jusqu'aux sources de ses peines Je l'aime et même
Au cœur de la tempête Aux soirs de nos défaites Le soleil qui brille au port C'est elle, c'est elle encore
Elle ouvre la fenêtre Se blottit contre moi Tout doucement, la vie va renaître Aux couleurs d'ambre de septembre
Quand l'eau de ses silences Déborde dans ses yeux Que j'entrevois la mer immense De ses secrets Je découvre peu à peu Sous l'azur de ses blessures Des trésors si fabuleux
Au bout de mon voyage J'aurai pour seul bagage Cet amour dont elle inonde Le monde, le monde
À l'eau de ses silences J'ai bu tant d'espérance J'ai reçu comme un baptême Je l'aime et même
Les fleurs de son sourire Le ciel que je respire Et l'étoile qui mène au port C'est elle, c'est elle encoreTeksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa.