Le soleil frappait cette ligne d'horizon qui n'appelait aucune présence. Des jours et des nuits à marcher sur l'asphalte brûlant, Compte, les mirages s'abattent avec des balles, mais tu comptes, mais tu trembles. Compte, regarde la peste devenir plus vaste que le monde. Compte les pertes. Regarde le ciel s'éloigner alors que nous marchons toujours, Crachant la cendre, crachant le souffre Contemple le spasme des idées, ttandis que le paysage s'annule. Vision d'un monstre d'or, Lorsque nous prîmes pour l'aurore le crépuscule.Teksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa.