Dans les rues de cette cité où il ne vient jamais personne De vieux hangars aux vitres brisées De vielles voitures brûlées Le jour où il y avait quelques clochards Mais nous on venait s’égarer le soir Lorsque tombait cette nuit noire
Cité, tu m’as vu grandir, cité Cité, tu as enfouis mes souvenirs, cité Cité, de tes murs délabrés Cité, mon cœur y est enfermé
Parfois on entendait Cette chevauchée motorisée Que toute habillée de soir vernait briser le calme du soir Mais aujourd’hui tout est fini Tout n’est que murs de béton Car tout le monde vit sa vie Comme dans une prison
Cité, tu m’as vu grandir, cité Cité, tu as enfouis mes souvenirs, cité Cité, de tes murs délabrés Cité, mon cœur s’en est tiréTeksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa.