Tes jolis chaussons roses n'ont pas l'air torturés Par tes mouvement grandioses ma danseuse de ballet Ballerine qui s'échine sur un brillant parquet Qu'une pointe déchire au point de l'écailler Quand t'enveloppe du blanc, du bleu, du brun, du rose Tu fais valser le tulle comme une tulipe éclose Et ces toiles n'ont de grand que la grâce qu'elles épousent Parfois en découvrant vos poitrines trop douces Je l'avoue, j'imagine que malgré ce Chagall Dans le noir tu devines qu'il y a mon coeur loyal Et je rêve qu'un de ces soirs, sur la place des Vosges On discutera Béjart, de petits ou d'autre chose J'imagine qu'au réveil quand tu étends le bras Un rayon de soleil semble s'inviter chez toi Et qu'en un coup de peigne tu remets bien en place Le chignon, ce diadème qui range ta tignasse Ha ha ha ha... J'imagine que c'est dur, que ça sent le travail Dans tes tristes blessures physiques ou bien mentales Repose toi dans mes bras, dis s'ils sont à ta taille Ma danseuse, mon étoile, redeviens petit rat Contre moiTeksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa.