J'entends les sirènes qui hurlent Dans la rue Les civières s'accumulent Des regards remplis d'effroi Nous paralysent Quand perdus sous les drames La ville s'enlise
Le paradis brûle Tous les dieux capitulent Il faut noyer l'œdème des larmes de nos peines
Je vois des corps dans le désert Des casques gisant dans la poussière Le tumulte des armes a fait place au silence Tournoyant dans le ciel les vautours s'avancent
Le paradis brûle Tous les dieux capitulent Il faut noyer l'œdème des larmes de nos peines
Le paradis brûle Tous les dieux capitulent Il faut noyer l'œdème des larmes de nos peines
Les gardiens de nos vies On préféré s'enfuir Nous n'avons plus d’abri Apprenons à souffrir Le pire reste à venir
Le paradis brûle Tous les dieux capitulent Il faut noyer l'œdème des larmes de no peines
Le paradis brûle Tous les dieux capitulent Il faut noyer l'œdème de larme de no peines
Le paradis brûle Tous les dieux capitulent Il faut noyer l'œdème des larmes de no peine
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