J’allais aux quatre vents des rues de ma grand-ville, pleurant les bonheurs disparus, les joies fragiles.
Un jour, toi, tu m’es apparu, simple et tranquille, tes mains ont montré le chemin que je cherchais.
Et tu disais si bien les mots que j’attendais.
Merci d’avoir sauvé ma vie d’une prison d’oubli, merci ! Merci d’avoir chassé la peur de mes nuits sans lueurs, merci !
J’étais comme un aveugle qui va, les yeux perdus, vers un monde inconnu de lui. Mon cœur qui n’avait plus d’espoir, toi, tu l’as réchauffé ce soir.
Merci d’avoir donné le jour à notre grand amour, merci ! Plus rien ne compte désormais, je ne te quitterai jamais !
Je suis comme le lierre, je m’attache à ton sort, je te suivrai jusqu’à la mort. Tu peux faire de moi tout ce que tu voudras : je t’aime !
Merci d’avoir donné le jour à notre grand amour, merci ! Plus rien ne compte désormais, je ne te quitterai jamais !
Je suis comme le lierre, je m’attache à ton sort, je te suivrai jusqu’à la mort. Tu peux faire de moi tout ce que tu voudras : je t’aime !
Merci, amour, merci ! Merci d’avoir sauvé ma vie !Teksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa.