Dans la pénombre je darde mes regards glacés A l’assistance grouillante qui m’environne Celle là même qui pullule, rampe de rien n’est digne, de la croix se signe Cette pourriture de vermine moralisée, empêtrée dans sa bassesse mesquine Je t’exècre, je te vomis toi et tes symboles pitoyables Amour, nauséeuse pitié, soumission lamentable Rien n’est assez bas pour toi, la faiblesse est devenue ta vertu principale Plus qu’une reconnaissance elle est devenue signe d’élection Je te hais, je te défèque, répugnance est ma muse Quand à ma vue tu exposes sans honte une opulente satisfaction
Vous détruire me procurerais une profonde jouissance Vous séduire puis vous souiller de ma puissance Plus jamais vous ne goutterez l’innocence
Je t’exècre, je te vomis toi et tes symboles pitoyables Je te hais, je te défèque, mon but ultime est de te voir crever M’implorer, me supplier, disparaître dans d’atroces souffrances Prendre en mes mains ton cœur encore chaud Le déchirer, me repaître de tes chaires Je t’écraserais, je t’anéantirais Immolé à l’autel des vermines, dispersé par un vent de haine, tu n’existe déjà plus
Vous détruire m’a procuré une profonde jouissance Vous séduire puis vous souiller de ma puissance, plus jamais vous ne goutterez à l’innocence Teksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa. |
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