La mort t'a emporté si vite, si vite Le trône m'importe peu, s'il pouvait encore m'ignorer Pourquoi ne supporte-t-il plus la légèreté de ta sagesse
Oh mon père, qui pourra me soutenir ? Certainement pas… ce Dieu Certainement pas… un Dieu
Mes torts, qui les redressera-t-il Tout cela m'assomme Oh mon père, que puis-je dire Plus un mot… ne fait sens
Non !!! Père, que m'aurais-tu dit avec un souffle de vie en sus Que m'aurais-tu écrit, si tu étais resté loin des douleurs de la bataille
Le trône est si froid, le protocole si lourd Tu fus un si grand Roi, qu'après toi plus rien ne brillera
Qui osera te montrer du doigt, toi qui n'as jamais imposé ton joug Qui n'as jamais fait couler le sang que lorsque nos terres furent assaillies Que lorsque nos femmes furent salies, nos enfants affamés
Tu as éprouvé tes adversaires, fédéré la noblesse Les gens du peuple t'ont aimé, car pour eux tu as enduré leurs souffrances… Tu as fait naître en leur cœur, l'espérance
Non !!! Père, que m'aurais-tu dit avec un souffle de vie en sus Que m'aurais-tu écrit, si tu étais resté loin des douleurs de la bataille Si tu m'avais laissé la mener pour que rien n'atteigne tes entrailles La mort ne t'aurait pas emporté, et maintenant que dois-je maudireTeksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa.