Quand les choses t'envahissent, comme une puissante vague de fond Que le corps et les formes te trahissent, que la voix ne peut sortir nul son S'en remettre à la raison, commencer un deuil sur le vivant Avec comme seul exutoire, les coups de crayon
La brume n'est qu'un voile éphémère Elle nous fait perdre des repères, voir des chimères Un pas à la fois, il nous faut avancer Ne pas rester figé dans les images de naguère… de guerres
Quand les choses t'envahissent, comme une puissante blague sans fond Que les torts et les cornes t'enlaidissent, que la voie ne mène plus au pardon S'en remettre à la raison, commencer un deuil sur le vivant Tel un cadavre dans le terroir, ne pousse plus un seul bourgeon
Quand la prose t'hypnotise, comme une puissante litanie sans fin Que tes membres se raidissent, que ta loi reprend la main S'en remettre à la raison, commencer un deuil sur le vivant Plus d'épaves sur le comptoir, un ultime rebondTeksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa.