avec perte et fracas avec un déluge et torrent de frappe une chair, meurtrie de haine la force, qui n'était plus qu'une faiblesse!
que les odes puissent se souvenir que nous ne sommes qu'éphémères que nos membres corporels ne sont qu'ustensiles et fugaces!
les orages, verbaux, délétères les mots, noirs, comme la gangrène!
ostracisés par nos congénères nuisibles...parmi...les utiles.
il est temps, d'enfin terrasser et de céder aux peurs intérieures!
que cette emprise cesse. que l'esprit puisse s'enfuir. loin, des tourments et des bassesses… dans les cieux, là où il n'y a plus à nuire.Teksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa.