Navigant sur des mers de lave et de soufre, Traversant l'infini, inondé par le foutre, Le pauvre homme à la peau âpre et rance S'égare entre les ruines de la décadence.
Il trône fièrement au milieu de sa barque, Venant des abîmes dont il est le monarque, Balaye et pousse les cadavres puants Et se fraye un chemin parmi la pourriture.
L'effluve des carcasses qui s'entassent Enivre les sens du bienheureux.
"Vautours, cloportes, pouilleuses hyènes, Becquetez, dévorez, raillez leur détresse. Sangsues nous étions, sangsues nous resterons : Misérables vers, léchez donc ces moignons." Teksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa. |