Battue, perdue, une lande de vent, grise de cendres au-dessus de la ville où les derniers ont été consumés.
Ils ont embrasé le ciel et la terre. Teinté l'ocre de rouge, le noir d'orangé. Ils ont maquillé la vie en pleurs, chaque fois une âme de givre ouvre son œil sur des ombres hallucinées.
Parmi les bourrasques d'une autre tempête Sont-ils une centaine vivant encore ? Étendus pourtant dans le magnifique linceul blanc, mourant pour une forteresse qui ne les protégera pas.
Dans la symphonie du sang répandu Hommage aux morts de Bielgorod
Le sang jaillira dans le sacrifice Ils renaîtront de par leur race Au plus pur de l'honneur et de la souffrance.
Hommage aux morts de BielgorodTeksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa.