À toujours faire son oracle au concret dévoué Euryale attendait ses aveugles quand se jouait l'ivresse.
Une dormance apprêtée au désordre échappée loin perdue au creux de ses vases.
Et les loups s'empoisonnent au ruisseau quand se déverse l'immoral, témoins de ceux qui rôdent, les traîtres errant à la lisière du silence.
Le rouge de nos regards abreuvant perdu au creux du cyclone plongeant au secret du pouvoir.
Blessé, à l'opposé À toujours fuir son oracle..
"Sans moitu n'es que vide et dans le vide tu renaîtras devant les fantômes qui paradaient à chaque vestige de tes remords.
Nomme un lieu où tu respirais sous l'orage Un endroit où grondait le futur, il sera détruit."Teksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa.