Toute blanche Dans ton habit du dimanche, On t'a glissée sous les planches. Avec un chagrin immense, On a fermé tes yeux Pour l'éternité.
Le coeur blême, Je me suis penché quand même Pour te souffler mon haleine, Mettre du sang dans tes veines, Te réchauffer un peu. Tu n'as pas bougé.
Ce dimanche, J'y pense encore et je flanche. Je t'ai porté des pervenches Pour parfumer ton silence. Le ciel, pour la circonstance, s'est habillé d'éternité.Teksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa.