Je la voyais tous les premiers jeudis du mois, Dans son studio, j'étais au chaud Comme chez moi, Elle faisait brûler de l'encens Dans du mobilier mil neuf cent En me racontant au fond du lit Avec un accent de Paris, Tous les auf wiedersehen, Tous les goods-byes my dear, Tous ces hommes qui les gênent Là où y a pas de plaisir. Tous les auf wiedersehen, Tous les goods-byes my dear, Tous ces hommes qui les gênent Là où y a pas de plaisir. Je la voyais Tous les premiers jeudis du mois, Pour commencer, elle me faisait Un petit repas Elle me câlinait comme une maman Qui aurait pas pu avoir d'enfant En me racontant pour que je ris Les exploits de ses petits maris, Tous les auf wiedersehen, Tous les good-bye, my dear, Tous ces hommes qui les gênent Là où y a pas de plaisir.
Je la voyais tous les premiers jeudis du mois, Ce soir encore Je pense à son corps, Entre tes bras Et je me demande quelquefois Si elle m'aimait pas plus que toi Que certains soirs au fond du lit, J'entends avec mélancolie: Tous les auf wiedersehen, Tous les good-bye, my dear, Tous ces hommes qui les gênent Là où y a pas de plaisir.Teksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa.