La lueur de rares chandelles éclaire le labyrinthe. On n'y voit presque rien et il sent la mort. Des pierres et des écorces marquées d'étranges symboles couvrent le sol à travers des os. Une brise poussiéreuse caresse parfois les murs, son souffle venu de nulle part. Un tombeau de l'ancien monde, un passage vers l'inconnu, pour qui ne perd pas son chemin. Teksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa. |
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