Perdu dans les cris des errants d'aujourd'hui La valse recommençait d'un aveu Fragile, elle soufflait sur un air désuet Les mots des amoureux
Je te berce, je te caresse Toi mon amour, toi mon sang, mon enfant Je te laisse mes nuits d'ivresse Donne-moi tes bras, je t'aime infiniment
Sans la valse dont je parle aux langueurs ancestrales Les amoureux restaient silencieux Mais elle, en trois temps, échauffait les amants Et murmurait pour eux
Allez viens, j'veux des baisers Au creux des reins, dans le cou et sur la bouche Allez viens, je t'emmènerai J'veux t'épouser, je veux que tu me touches
Dans la valse priait jour et nuit, soleil ou pluie Pour qu'on en révèle aussi
Pourtant elle savait que les mots qu'elle soufflerait toujours Sans elle n'étaient pas ceux de l'amour
Et elle recommençait indéfiniment pour tous les amants Et elle recommençait indéfiniment pour tous les amantsTeksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa.