Dans les rues de la cité clacière Démanquillées par le vent d’hivers Toute seule sans ma boussole Perdu comme tant d’autres figurants Dans cette ville De film en noir et blanc J’étais paralysée la pluie m’a réveillé
Ne me dis rien il faut se taire les mots d’amour gèlent en hivers Il n’y a rien à dire il n’y a rien à comprendre... Quand vient la lumière de septembre il faut s’aimer sans plus attendre Et s’aimer au moins jusqu’au début de l‘été qui vient
Dans la ville innodée par le bruit Seule au monde je m‘étais évanouie Tes larmes m’ont réveillée Je m’y suis retrouvée
Ne me dis rien il faut se taire les mots d’amour gèlent en hivers Il n’y a rien à dire il n’y a rien à comprendre... Quand vient la lumière de septembre il faut s’aimer sans plus attendre Et s’aimer au moins jusqu’au début de l‘été qui vient
Ne me dis rien il faut se taire les mots d’amour gèlent en hivers Il n’y a rien à dire il n’y a rien à comprendre... Quand vient la lumière de septembre il faut s’aimer sans plus attendre Et s’aimer au moins jusqu’au début de l‘été qui vient
Quand vient la lumiére de septembre qui donne aux choses un goût de cendre Ferme les paupières et surtout ne dis rien J’éffaç’rai l’univers pour toi il fait si froid ne t’en va pas Et buvons encore une fois les larmes de septembre Teksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa.