Au long du quai, elle a vu que passait Mandolino. Elle a couru jusqu'à lui dans la rue pour lui dire son amour.
Et sans façon, elle a chanté son nom, Mandolino, que tous les gens qui passaient, nonchalants, ont repris en chantant.
Dévalant dans le vent, le vent, le vent léger du vallon, tout le long, le long, le long des quais. Ouais, ouais, ouais!
Elle a crié: je suis là pour t'aimer, Mandolino. Oui, mais dans l'eau n'est resté que le reflet de Mandolino.
Au coin du bois, le voilà tout en bas, Mandolino. Il vous attend patiemment, on le croit, cette fois et pourtant...
Sur le coteau apparaît tout en haut Mandolino. Il est partout et si c'est au Pérou, c'est le même que chez nous.
Si c'est à, si c'est à, si c'est à Napoli, il n'est pas, il n'est pas, n'est pas plus beau qu'ici. Si, si, si!
Quand passera à portée de vos bras, Mandolino, n'hésitez pas, prenez-le, gardez-le et dites-lui tout bas:
Je t'aime, Mandolino, je t'aime, Mandolino. Teksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa. |