Les hôpitaux, se remplissent de saints Le palais de justice revend tous ses biens Les places publiques, dansent dans le sang Et les mains sales, rendent service aux gens Mais le rire est là, pour nous amuser Le bonheur est mort, le progrès l’a tué Le progrès l’a tué
Et le mensonge prolifère, depuis des millénaires Les communautés sont enserrées, au sein de la cité
Fouille dans les trous Les racines dans la boue Pendu par le cou Étrange fruit sans goût
Quand les temps sont durs Il pousse des murs La ciguë est dans les vergers de l’insécurité
Les contours se dessinent Les dessins se contournent Les sages se partagent La somme des héritages
L’argent sale dont tout le monde se sert Encrasse la démocratie
Les familles se déchirent sur les places publiques Schadenfreude et filles de mauvaise joie
Ils se bouffent entre eux En toute liberté Faibles contre les forts Forts contre les Faibles
Les raclées se perdent la jeunesse a dévié Le Kleroterion est maintenant connecté
Et le mensonge règne, depuis des millénaires Sur les richesses, la matière première
Vivre sous le joug Des mouvements d’une roue
Décadence et foule L’agora s’écroule
L’opprobre est en dessous il remonte les égouts.Teksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa.