Les platanes vers ma maison jettent des cœurs d'ambre et de feu. Les muscats meurent sur la route dans le sillage des bergers. Les moutons palpitent là-bas où tremble l'herbe de mon âme et je me désaltère aux sources éveillées aux sources de sommeil. Houris, dentelles, fleurs de sable, roses sultanes dans mes cours, de quel Generalife sourd suis-je le maître indispensable ? Je vais par le stuc et les seins des nuits ; les citronniers frissonnent pour les Alhambras que caressent les fontaines du noir délice. Été de figue, de maïs dans les poudroiements de mes mains, ô jasmins, ô violents iris de mes paumes pétrifiés ! Teksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa. |
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