Pas si sur qu'avec le temps tout s'en va
J'ai brisé toutes mes chaînes, ta mémoire me rattrape à chaque fois
Et j'en ai tatoué, des dizaines d'initiales
Sur la peau des arbres, jusqu'à leur faire très mal
Pour ne même plus être vraiment sur
Sur de vouloir que ça dure
Juste pour que ça dure
J'ai de drôles de matins blancs, des gueules de bois
J'ai séché tous les bars, en vain, afin de me vider de toi
J'ai piqué des têtes, plongé dans les placards
Comme pour te sentir, à défaut de te voir
Pour ne même plus être vraiment sur
Sur de vouloir que ça dure
J'aimerai que tu vives mes mirages
Mes flots d'envie, mes vagues de courage
Et tous mes déserts, leur silence qui rassurent
J'aimerai réapprendre nos jeux
Mes hivers seul, tes printemps à deux
Vider nos blessures, de toutes les douleurs clair-obscures
Pour que ça dure
Prisonnier de mes peurs, de mes chagrins
Je laisse mourir les heures, je m'égare à chercher d'autres chemins
J'ai usé ma voix, à force de prières
Et pour que tu y crois, je me suis fais la guerre
Pour ne même plus être vraiment sur
Sur de vouloir que ça dure
J'aimerai que tu vives mes mirages
Mes flots d'envie, mes vagues de courage
Et tous mes déserts, leur silence qui rassurent
J'aimerai réapprendre nos jeux
Mes hivers seul, tes printemps à deux
Vider nos blessures, de toutes les douleurs clair-obscures
Pour que ça dure
J'ai usé ma voix, à force de prières
Et pour que tu y crois, je me suis fais la guerre
Pour ne même plus être vraiment sur
Sur de vouloir que ça dure
J'aimerai que tu vives mes mirages
Mes flots d'envie, mes vagues de courage
Et tous mes déserts, leur silence qui rassurent
J'aimerai réapprendre nos jeux
Mes hivers seul, tes printemps à deux
Vider nos blessures, de toutes les douleurs clair-obscures
Pour que ça dure
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