Lynchage de masse, les spectacles de cette qualité n’ont pas lieu tous les jours, le bourreau le sait et va faire durer. Il faut donner le plus d’émotions possible à la populace, les condamnés sont mis à nus, pour que l'on voit le membre viril entrer en érection et éjaculer, pendant que le pubis des femmes gonfle et bleuit sous l’étreinte mortelle. Il ne suffit pas simplement d’obtenir le trépas du condamné, il faut les humilier et faire des exemples ; les muscles se décontracteront et la vessie ainsi que l'intestin se videront ! Quelle méthode va-t-on choisir ? Une pendaison courte par asphyxie, voir le rebus gigoter au bout de la corde avec ses jambes cherchant désespérément un appui, le supplice pouvant durer des heures ; ou bien la pratique du retentum, une pendaison où les pieds ne toucheront plus terre mais où les condamnés seront morts suspendus et brulés sur le bûcher. On annonce à la foule les crimes commis, les insultes et les cailloux pleuvent, la foule est en colère, le sacrifice expiatoire peut débuter. « Jugés coupables pour crimes contre l’église, les accusés seront condamnés à mort par strangulation. Pendus sous le gibet, jusqu’à ce que mort s’en suive. » Les derniers mots qu’entendront les suppliciés seront « Fais ton office bourreau ! »Teksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa.