Labyrinthe d’arbres mornes Firmament vide et coeur asséché Litières aux cendres de morts Sous les pas vifs de loups décédés Je suis ici sans remords Mon âme est partie, le coeur est vidé Mais la peur a conquit mon corps Contrée aride et mânes aliénées
Litanie pour coquilles desséchées Triton et accords décimés . Ambiance glaciale et possédée.
Silhouette massive et forte Etoffe de charbon aux bords effrités Visage aux reflets amorphes Aspect de mercure, aura étouffée Elle me tend un masque aux bords sans limites ni vraiment dessinés Je le met, je tombe alors Dans un puit de pleures et d’âmes perturbées
Maelström de corps étirés A la palette chromatique délaissée La chute enfin s’est arrêtée.
Et la Lune éprouve mon corps Ce regard mystique pénètre mes pores Images intenses qui éveillent mon sort Et je pleure toutes mes larmes et encore. Des peines arides, des souvenirs plus forts Une Pénitence Onirique qui s’impose alors.
Une« Carapace de fantasme vide » rassasié des souvenirs oubliés j’aurai voulu pouvoir vivre une vie pleine sans coeur atrophié dans les méandre d’une fin de vie j’aurai réveillé mon humanité Dans ces limbes aux nombreuses sibylles Empli du penseur ensoleillé .Teksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa.