Elle murmure encore dans ma tête, Où suppure et dort sa silhouette, Un écho d’absence, un ricochet de néant, Un garrot sur mes sens, un hoquet permanent.
J’essaye de la prendre, ne tiens que des cendres, Elle raye à en fendre nos liens en méandres. Je paye sans comprendre, me meurs de l’attendre, Elle balaye, l’air tendre, ce cœur sans le rendre.
Amène enfin de brèves proies, La reine a faim de rêves, de choix, À pleine main, crève de ses doigts, L’ébène fin d’une Ève en bois.Teksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa.