Grâce à l’airain et le fer consacrés se dresse l’épée qui mettra la division entre les hommes pour les dévouer à l’interdit, tels les serpents, immondices au tournant de la géhenne.
Et dès lors, ce sont les premières que vos mains se lèveront pour donner la mort, puis suivront celles de tout un peuple. Ainsi, vous serez imités et idolâtrés. Ensemble, notre prodige brillera de sa fureur sous l’arbre aux grands rameaux.
Et quand ne font qu’un le passé et l’avenir, le bénisseur et le vengeur, l’amant et le bourreau… Quand la vipère se joint au bouc et que le vautour supplée au brasier, la lune, enfin, l’emporte sur le soleil, et c’est de nuit que suivent alors les réjouissances au partage du butin. Teksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa. |
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