Les serres acérées de l'abîme d'outre-tombe Asphyxient le spectre du bonheur volatile Du paradis, sont tombées par centaine les colombes Laissant à l'abandon un jardin au vert stérile
Ah, comme la violence a violenté Le reflet d'un printemps dans la glace mutilée Ah, comme la violence a violenté Les spasmes de tes lèvres Poussent ton sourire à s'effacer
Comme la neige éparse sous des rayons ardents La joie s'estompe sur le désert des malheurs En attendant que, de manière sporadique, La tristesse s'assèche par un nuage opaque de janvier
La lumière va et vient Emportant le bonheur quand elle va La lumière va et vient Aveuglant la raison quand elle vient La noirceur va et vient Délaissant l'espoir quand elle va La noirceur va et vient Apportant la nostalgie quand elle vient
Ah, comme la violence a violenté La quête infinie d'une existence délabrée Ah, comme la violence a violenté Mais les spasmes de tes lèvres Poussent les miennes à sourire
D'une main puissante, ma faux D'une main conquérante, mon flambeau Emblématique d'une consécration cadavérique Teksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa. |
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