Nous n'éprouverons ni soif, ni fatigue, ni faim, sur les sentiers de notre seigneur. Car il guidera ses enfants vers la victoire contre les infidèles, qui se prosterneront devant sa magnificence. Nous reconnaissons en son nom le mot "vengeance" ! Contre ceux qui jadis brûlèrent sur le bûcher nos frères et sœurs au nom du mensonge... Nous reconnaissons en son nom le mot ''Fidélité'' ! Envers les saintes écritures qui déposeront le sceau de l'oubli sur les trois livres mensongers.
Et je vis les portes du ciel s'ouvrir, libérant l'archange blanc porteur de l'épée de la justice divine, il inscrit en lettres de feu son nom sacré, annonciateur de la libération de notre terre et du règne sans fin du Fidèle et Véritable.
Il leva au ciel les trois symboles révélant l'identité du mal : Je reconnais l'aveuglante croix d'or ! Je reconnais l'étoile ornée de faux diamants ! Je reconnais le croissant de lune aux mille grains de sable !
Que dans la nuit retentisse notre colère, que dans l'obscurité dansent nos mains d'acier Et que leur sang fertilise à jamais ces champs de cendres qui furent leur destinée. Que leurs larmes printanières nourrissent à nouveau nos chrysanthèmes, Que leurs souffrances honorent les sépultures de nos martyrs tombés pour la vérité.
Regardant vers l'horizon, les mains tâchées de sang, un corps à mes pieds, devant l'éternité, De l'océan déchaîné surgit l'Ange détrôné qui vint se poser, m'offrant un dernier baiser. Et par votre mort je serai couronné, prince des condamnés, seigneur des aliénés. Par le feu et l'acier je conduira notre armée, forgeant par le sang le châtiment du crucifié.
Gloire à toi notre père, nous sommes les enfants du tonnerre. Sur le désert de leurs vies nous bâtirons notre nation. Instrument de ta colère, regroupé sous nos bannières, nous marcherons sur les ruines de l'illusion. Gloire à toi notre père, nous sommes l'Ordre de la lumière. Sur l'océan du mépris navigueront nos galions. Instrument de ta colère, regroupé par une nouvelle ère, nous marcherons sur le néant de votre monde.
Regroupés dans nos bastions, célébrant notre infinie dévotion, Dans la flamme de la foi naquit notre courage, dans le brasier de l'espoir jaillira notre victoire. Et sur vos chemins vous trouverez le missionnaire porteur de la flamme, proclamant les nouvelles lois. Mains divines de la justice, vous partirez sans aucun cri. Dans un dernier baiser, goûtez à mes lèvres d'acier.
Priez vos faux dieux, implorez leur pitié. Les bûches sont dressées, le marteau est tombé. De votre chair consumée naîtra l'enfant sacré, pureté incarnée, reflet de l'éternelle vérité.Teksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa.