Les têtes vidées par la famine voyaient rouge, rêvaient d'incendie et de sang au milieu d'une gloire d'apothéose.
Eh oui, un jour le peuple lâché, débridé galoperait ainsi sur le chemin Et il ruissèlerait le sang des bourgeois. Teksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa. |