Etal[e] tes tristes draps, Noie donc tous ces pétales Comm[e] brume à l'infini Qui toujours surprend l'Homme. Ton parfum glisse frais Sur la terre enneigée
Marbré tel ton regard, Art obscur[e] sublimé Chaque soir il scintille Si cachés soient les lacs. Ne sont-ce que les sages Qui goûtent à ton image ? …qui goûtent à ton image…
Reine de toutes nuits, Lit les stanc[e]s de ma peine Cell[e] qu'inflige la vie Si elle t'ignore, Belle. Mon âme n'aspirait Qu'à pouvoir te toucher
Quant apparaît le jour, Sourd et si insolent, Tu fuis alors sans grâce Face à cet astre nu. Combien j'ai regretté Cette réalité
…que la mort voleraTeksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa.