Nue comme les pavés Noire comme l'eau qui dort: La fille s'avance alors Sous un portique brisé
Ses pas y glissent frais Tournant le dos au Sort: Ses charmants yeux encore Reflètent un ciel grisé
Murs de Calme imprégnés Ennemis du Dehors: Lieux maudissant l'Aurore Et louant le Passé Ce sont leurs cris muets Que l'on entend si forts
Un instant comtemplé Elle reconnait la Mort: Séduisante comme l'or, D'une mortelle beauté
Sans un mot prononcé Elle l'invite sans tord: Ce n'est pas un trésor Mais une fleur éthéréeTeksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa.