Les lumières s'éteignent Faisant de la ville une labyrinthe si froid Elle défile devant moi. Viens, prends ma main et partons là Où les nuages noirs se seront dissipés.
Les stations s'enchaînent, leurs noms sonnant comme ceux d'endroits hostiles, tous similaires. Les visages absents, les couloirs confinés. Et finalement, cette étendue de terre battue par les vents.
Les caresses de la brise, le froid de l'hiver n'ont pu effacer toutes mes larmes Et je me vois ainsi chaque année.Teksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa.