Tu divulgue tes prières du vent du nord. Sifflant de glace tes ardeurs assassines, Qui cachent intimement leurs sons de mort; Mêlant leurs mélodies à de rares épines.
Mais je déguste chaque mots et chaque syllabes Élevées à l'unisson de cette mièvre aubade. Ta musique mortuaire sile mes tympans d'ivoires, Esquissant une épave dans mon océan noir!
Car jamais tu ne t'effaceras aux marques du temps, Ce sont tes secrets fiévreux qui figent dans mon sang.
Lorsque ton souffle balais l'herbe au jeune printemps, Je m'engloutis dans l’Abîme d'un mal humiliant.
Mes larmes sont un étang givré aux pointes d'acier Vers où s'écoule mon amour perdu et dissipé.
Ta perte se prononce du haut siège des Dieux Et son vertige laisse un goût de vide belliqueux.Teksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa.