C'est leur crient discordants Qui dissipent les nuits Jusqu'au soleil levant.
Prenez gardes au mal qui gît Sur le seuil des rêveurs incompris, Là où les ténèbres sont enfouies.
J'ai souvenir d'un monde silencieux Loin, où l'immondice n'a pas de son. Des paysages purs aux traits fins et blonds, Suivant les calculs parfaits des Dieux.
Des grondements puisent leurs échos du fond des océans... ...Grandissent avec le haut tout puissant D'une vague au-delà des voûtes divine, Déchirant notre voie Lactée sublime.
Mais ils sont trop bruyants!
C'est leur crient discordants Qui dissipent les nuits Jusqu'au soleil levant.
Prenez gardes au mal qui gît Sur le seuil des rêveurs incompris, Là où les terreurs prennent vie.
L'entrée est maudite et oubliée, Sauf pour l'âme qui rêve d'exile, Car il existe un lieu d'été Dessiné par le Vril.
Marchons ensemble vers l'exile Pour la création d'un nouvel asile,
Et faire taire à jamais Les esprits serviles! Qui nuise à la paix À m'en rendre sénile!Teksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa.