C’est que je ne suis ni dieu, ni maître Au sein d’un monde éloigné de mon esprit, Que j’œuvre dans l’abstrait d’où j'ai pu paître Sans conscience des visages cachés de la vie.
Mais qu’entends-je au-delà des fines couches astrales? La grande aiguille qui marques les heures finales? Elle fait vibrer de simples frissons sur mon échine fractale Et Laisse à l’écho ambiant une névrose au rythme spatial.
Mes pas s’imprègnent aux élans d’obsessions floues, Puis je m’enivre dans l’orage au seuil de ma proue. Défiant les débats d’une tempête pourvue de tabous, Je vogue sans rames sur les vagues qui s’échouent.
C’est que je ne suis ni dieu, ni maître Au sein d’un monde éloigné de mon esprit, Que j’œuvre dans l’abstrait d’où j'ai pu paître Sans conscience des visages cachés de la vie.
Ma chair est un cachot aux barreaux de feu glacé, Dont l’antre dévoile le portrait d’un aliéné. Mes passions sont ivres et mes chandelles oscillent Dans cette caverne où plus ... plus rien ne brille …
Là, où rien ne brille...
Mes pensées qui défilent sont lourdes et enchevêtrées Quand dans l’état d’éveil je vois d’horribles phénomènes. Je pleure et je pleure et que mes larmes sont d’ébènes! Mon navire sombre avec moi et mes cris étouffés.Teksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa.