Le vent qui libère la terre, l'eau qui engorge les champs. Pour la saison des morts, la récolte des affamés. Pourtant je lui donne tout, à celui qui porte la grande panse. Celui qui nous surveille, celui remplit de notre pain. Il compte sans cesse, le plus grand des Séraphins. Je maudis mes récoltes, je maudis Ma Seigneurie. La faim je la connais, elle nourrit mon esprit de colon, de voyou au goût amer. Elle ne quitte pas. Accoutumé au mal, j'y ai pris mauvaise habitude. Comme la chiasse au lendemain d'une virée. Comme la place d'un paysan entourloupé.Teksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa.