La guerre, le viol, le sang La déchéance de nos enfants La guerre, le viol Et pendant ce temps Dieu est mort
Regarde le néant, qui lentement envahit Entend le cri des hommes, atroce agonie Les cités brisées que la foudre incendie S'écroulent sur le crâne de la plèbe asservie
Les entrailles du Christ, dans la pénombre pourrissent Et en enfer les mort, s'abreuvent du sang du fils Dieu est mort
La grasse fumée nauséeuse, d'ardents brasiers de chair En colonnes sulfureuses s'élèvent, d'incandescentes lumières Sous les crevasses du sol, le magma s'insinue Et inondent les routes des hommes, qui se figent en fragiles statues
Les sept coups de tonnerre, ont ravagé la terre Et ses fils calcinés en sont morts, à qui revient le tort Dieu poignardé en son flanc, meurt étouffé dans son sang L'agneau sacrifié se relève, et sur son trône siège
La guerre, le viol, le sang La déchéance de nos enfants La guerre, le viol Et pendant ce temps Dieu est mortTeksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa.