Chevelure nacrée, légère comme la fumée au vent Etrange vision sur le sol recouvert de blanc Tu es comme l'éclair sur un fond de couleur changeant Où brille un soleil éclairant ton visage d'enfant J'aime ton regard quand il pose sur moi le bleu de tes questions J'aimerais répondre, mes lèvres à peine s'entrouvent, Se figent un peu, s'étouffent, pourquoi? - Ton ombre m'obsède comme un rêve insensé trop beau. Quand dessus la steppe ton cheval jaillit d'un saut Qui es-tu belle, toi qui nous émerveille tant Ta silhouette digne se confond dans la nuit des temps - J'aime ton visage taillé comme de l'ivoire où je lis ma passion - J'aimerais te prendre, mes yeux déjà se brouillent Des larmes d'espoir coulent pourquoi?
Dans ce paysage de glace le silence de ta présence m'inquiète Laisse-moi t'approcher, te parler, te toucher, Cavalière nébuleuse sillonnant les quatre vents - Tu me rappelles celle que j'avais tant aimé Et qui n'a laissé qu'un enfant Nous t'attendons depuis que tu as disparu Dans la brume et le froid de la steppe endormie
b) L'oppression.
Laisse un instant de côté ces fantasmes qui t'ennuient Ne montre pas de la sorte à voix haute ta folie Tu n'as pas le droit de sroire en l'amour platonique Relève la tete, marche droit, ne pense plus à ce rêve Songe au printemps qui se meurt pour un été vainqueur Fais comme les autres, retiens toi de pleurer tes envies Respire à plein poumons l'herbe fraîche, la lumière, la poussière Regarde l'horizon s'empourprer sur le flot de tes larmes Fuis l'oppression qui t'accable et qui tisse sa trame
c) Avec le vent.
Une à une les étoiles s'estompent, se meurent à l'aube naissant Ta tête enfin devient corolle et vole dans le vent Une à une les étoiles se meurent Je danse avec le vent.Teksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa.