Premièrement, on dit que tu touches des pots de vin, Deuxièmement, que toute notre ville t'appartient, Troisièmement, que tu vas voir en douce les putains.
Aux réunions du conseil municipal, Tu profites de tes hommes de main Pour faire distribuer un journal Où l'on te vante comme un homme de bien.
Premièrement, tu n'avais pas un seul copain. Deuxièmement, tu ne savais pas te servir de tes poings. Troisièmement, tu chialais toujours pour un rien.
Pour ta paire de lunettes qu'un d'entre nous t'avait cassée, C'est derrière les jupes de ta mère, Qu'avec plaisir, tu as dénoncé Le coupable devant l'école entière rassemblée.
Premièrement, tu as une montre à ton gilet. Deuxièmement, tu es vraiment trop bien peigné. Troisièmement, à la messe, t'es parmi les autorités.
La femme d'un beau quartier, Qu'avec le préfet pour témoin, t'a épousée, C'était la seule fille de par ici Qu'aucun d'entre nous n'a voulu embrasser. A voir vos enfants, sûr que dans votre lit, Elles doivent être tristes, toutes vos nuits.
Premièrement, ne rentre jamais très très tard. Deuxièmement, fais-toi conduire jusqu'à ton parc. Troisièmement, la loi ne protège pas toujours les tocards.
Premièrement, dis, c'est vrai que tu touches des pots de vin, Deuxièmement, que toute notre ville t'appartient, Troisièmement, que tu vas voir en douce les putains?Teksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa.