Tirons les cartes, changeons les noms,
Passons anonymes à l’action,
Une course folle, le coup de la panne,
Et tout ça pour vous, Madame.

Je n’entends pas l’appel de l’amour,
Mise à part toi et ta voix de velours.
Qui hurle dans le vent :

Toi je t’aime, et toi je t’aime,
Toi je t’aime, et toi je t’aime,
Toi je t’aime, et toi je t’aime,
Mais toi je t’aime et quand même.

Séchons nos larmes et prenons nos marques,
Déposons les armes et quelques claques,
Au bout du compte, rien de personnel,
Et tout ça pour vous, Mademoiselle.

Je n’entends pas l’épreuve de l’amour,
Mise à part toi sur la voix de secours.
Qui hurle dans le vent :

Toi je t’aime, et toi je t’aime,
Toi je t’aime, et toi je t’aime,
Toi je t’aime, et toi je t’aime,
Mais toi je t’aime et quand même.

Prenons le temps de faire le mur,
Comme avant, un peut moins sûr,
Gardons le cap puisqu’elle est presque belle,
Et tout ça pour vous, Mademoiselle.

Je n’entends pas l’ivresse de l’amour,
Mise à part toi évidemment,
Qui hurle dans le vent :

Toi je t’aime, et toi je t’aime,
Toi je t’aime, et toi je t’aime,
Toi je t’aime, et toi je t’aime,
Mais devrais-je t’aimer quand même.

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