Ils te classent marginal, Car tu n’as pas sût naître À l’époque de tes maîtres Beaudelaire ou Nerval.
Tes ancêtres ont mille ans Et tu es là toujours. Aux discours de ton temps, Tu préfères un train sourd.
Tu confesses qu’il faut Céder au modernisme, Mais crains que nos cerveaux N’oublient le romantisme.
N’entend pas ce qu’ils disent. S’ils sonnent l’allali, Moi, j’aime ta folie, Ta fièvre d’analyse.
Réveille toi, réveille nous les sens Et de ta plume alerte, Apprend nous l’existence De nos âmes qui désertent, De nos âmes qui désertent.
Poètes, ouh, ouh,
Réveille nous les sens, Et de ta plume alerte, Apprend nous l’existence De nos âmes qui désertent
Ouh, poètes, poètes, poètes, Poètes, poètes, poètes, Où était-ce ? Teksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa. |
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