Quand elle passe, la Carmencita Elle déplace cent mille gars Plus ils s'enflamment Plus à Tolède les autres femmes Alors se sentent laides. Elle est fière comme un hidalgo Elle est chère comme dix lingots Et aux arènes, chaque semaine Elle est la reine des cœurs madrilènes
Tu connais pas Mireille, Mireille, Mireille Mireille qué merveille ! Elle me rend fada. Lorsque mon cœur sommeille J'ai le train de Marseille Et quand je me réveille Mireille est dans mes bras.
Ah, t'aurais vu un printemps sur le Kinza Yochiko marcher à tout petits pas Entravée dans son beau kimono de soie T'aurais cru voir marcher du mimosa Ou des arbres en fleurs s'envoler dans la brise Et si alors elle t'avait souri Tu l'aurais trouvée si douce et si exquise T'aurais bien pu te faire hara-kiri.
Tu connais pas Mireille, Mireille, Mireille Je la vois je bégaye Elle me rend fada Lorsque mon cœur sommeille J'ai le train de Marseille Et quand je me réveille Mireille est dans mes bras
Si t'avais Yasmina sur ta route, Tu verrais son œil noir qui t'envoûte Tu verrais d'un seul coup les mille et une nuits De la Perse et de l'Arabie Cet immense œil noir-là illumine Alors sous le voile on imagine On se dit devant l'œil mystérieux Dans le fond je suis presque sûr qu'elle en a deux.
Tu connais pas Mireille Pour trouver la pareille C'est pas demain la veille Ça me rendait fada Parce pour voir Mireille Ça faisait loin Marseille. Merveille des merveilles. Mireille, tè, la voilà.
Mireille, Mireille, viens vite dans mes bras.Teksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa.