On les entends, mais on ne les voit jamais dans la nuit Contre le vent, ils attendent impatients, fous de rage Et d'envie de sang, à l'affut du moindre corps qui s'est affaibli, Voici venu le temps ou on les revoit trainé par ici En clan, en meute en formation toujours bien définis Les dents dehors affamés prétes à combler l'appetit grisant Qu'ils ont depuis que l'hiver a posé son nid Un drole de sentiment a envahi tous les gens du pays, Priez! Et que personne ne sorte dehors quand le soir est tombé, N'amuser pas la mort! Ankou saura vous retrouvé, Au-dela du décors, le tableau n'est pas étrangé, Vous le connaissez bien mes frères, Ils reviennent chaque année Allez! Et que chacun ne rentre chez lui sans une torche allumée, Afin que je puisse le voir du haut de mon clocher, Je ne suis que le père, l'enfant du pays, le curé Mais je ne laisserai pas faire des bêtes s'amuser du berger
Pardonné mes offenses, Moi qui n'ai jamais écouter, La moindre différence, Pour mieu vous condamnés Pardonné ce silence, Ces mots que je n'ai pas comptés, Et si vien la violence, Elle ne fait que passer
Souvent, Quand je pense a mes ouailles et a notre communauté, Je n'ai que des sentiments de bonheur et d'amitié Moi qui n'ai jamais eu vent de grands pécheurs égarés, Même les courants n'ont pas suffit à me les éloigner Avé! Marie que chacun de nous par ton esprit soit béni, Que le vilain comprenne bien qu'il n'est pas ici chez lui Qu'il rapelle ses c***ns, sa meute, son malheur son envi, Sous la protection de ses saint, ce village non n'est pas maudit! Alors, n'ayez pas peur mes amis de ces loups errants, Ces rôdeurs de la nuit venus dévorré nos enfants Si le danger existe, c'est de la colline qu'il descend Profitant de ces temps si tristes, Ainsi seront les mécréants
Pardonné mes offenses, Moi qui n'ai jamais écouter, La moindre différence, Pour mieu vous condamnés Pardonné ce silence, Ces mots que je n'ai pas comptés, Et si vien la violence, Elle ne fait que passer Biensur, La nuit a pris dans ses bras le village puis est passée, Elle a tournée la page sur un soir d'hiver et glacée A deux pas du rivage, le bruit des hommes fatigués Les bateaux et leur équipage venaient tout juste de rentrés Ils ont pris la rue principale tout en brayant très fort, "-N'y a-t-il personne de matinal ici dans ce vieux port?" Les rires fusaient, les blagues raisonnaient fort dans ce décor Mais arrivés à la Grand Place tout s'arreta net et alors, Ils virent des enfant sur le coté entrain de pleurés, Des femmes agenouillées sur le parvis et apeurées, Devant un corps sans vie complétement déchiqueté, Son sermon dans la main écrit, Ainsi nous quitta le curé...
Pardonné mes offenses, Moi qui n'ai jamais écouter, La moindre différence, Pour mieu vous condamnés Pardonné ce silence, Ces mots que je n'ai pas comptés, Et si vien la violence, Elle ne fait que passerTeksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa.