J'ai peur de trouver au coin d'une pensée, Le si doux souvenir de ton regard absent. La chaleur de ton sang qui au mien mélangé, Nous rendait si forts, éternels et puissants.
J'ai honte à pleurer, notre union déchirée, Je ne souhaite infliger qu'une blessure mortelle, Au démon qui tua mon cœur assassiné, Consumé par un feu de haine passionnelle.
Je veux enterrer ces restes d'existences, Les vomir, les maudire encore, Les mourir, les pourrir de souffrances, Faire saigner les souvenirs de ma mort.
Je voudrais découper la chair de ton vice, La noyer dans un océan de sang impur, Défaire ses liens par une lame salvatrice, Noircir sa couleur et tuer son futur.
Mais tu es toujours là, maîtresse de mon corps, Et tu aimes encore, tu donnes impunément, Tu partages à tous ce qui était mon or, Le plus cher des trésors que j'eu de mon vivant.
J'ai peur de trouver au coin d'une pensée, Le si doux souvenir de ton regard absent. La chaleur de ton sang qui au mien mélangé, Nous rendait si forts, éternels et puissants.
Blasphème de nos rêves, passés si différents, Donnes-moi cette force pour pouvoir te maudire, Cette volonté te t'exécrer, toi l'amant, Dans mes rêves sombres pour te voir pourrir.
J'en tremble et j'en pleure, j'ai trop mal et j'en meurs, Aides-moi à mourir il te rend ton sourire, Qui assassine, brûle comme ton corps, Qui redemande cette souffrance de plaisir.Teksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa.