Si la vie comme mère n'est qu'une, commun horizon des mortels. Héritiers de pauvres fortunes, nos trésors semblent si réels, tu vois, petit cercle est complet, les deux, jamais sans trois et le qu'en dira t-on, qui vivra verra, aujourd'hui à vous, demain à moi, vice et versa. Pour une joie existera mille douleurs, nul plaisir ne s'acquiert sans peine. A force de mal, tout ira mieux j'aurai moins peur, la liberté fournit ses chaînes, tu bas , sans savoir en jouer, des cartes, ou d'autres poupées, trop penser fait rêver, mais qui se souviendra, combien nos écorchures, se plaignent des temps durs, avant de pardonner celui qui offensait, ce dernier un jour applaudira, les murs sont une fin pour tous ceux qui ne les voient pas, on a tous ri de ça. Heureux vivons cachés s'attendre à espérer, mon Dieu que c'est dur, d'être sûr et sentir la fin de ses rêves ses désirs, tout au fond de soi. Oh qui vivra verra. Teksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa. |
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